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Pourquoi et comment augmenter une autoconsommation collective d’électricité solaire

21 mars 2022

Une révolution énergétique est cours !  Sur base de deux directives européennes, le partage local d’énergie renouvelable devient un droit pour les citoyens. Partout en Europe, un bâtiment équipé en photovoltaïque par exemple pourra partager la production solaire avec les voisins, à un tarif avantageux. Des projets-pilotes existent déjà en Belgique, notamment au sein de logements sociaux (lire notre article Des logements sociaux à St-Gilles mettent leur énergie en commun).  Ce principe est donc un formidable accélérateur pour une transition énergétique socialement juste.  La Région bruxelloise vient d’adopter un cadre légal.  La Wallonie devrait bientôt faire de même.  Pourquoi maximiser une consommation collective d’électricité locale ?  Tout d’abord, il est important de préciser que la maximisation de votre consommation d’électricité locale ne doit jamais augmenter votre consommation globale d’énergie. En effet, la transition énergétique implique l’augmentation de la production d’énergie renouvelable, mais aussi et surtout une diminution globale de notre consommation d’énergie. Faire l’inverse n’aurait donc pas de sens.   La maximisation de votre consommation d’électricité locale doit résulter du déplacement d’une consommation que vous auriez effectuée à autre moment.   La maximisation de votre autoconsommation peut avoir un sens à plusieurs points de vue.  Point de vue économique   Si le producteur local vous vend de l’électricité à un prix stable sur une longue durée et inférieur à celui que vous payez à votre fournisseur ou vous la donne (par altruisme ou en échange d’un contre don), au plus vous consommez de l’électricité locale, au plus vous économiserez de l’argent. La quantité d’électricité qu’il vous sera possible d’autoconsommer localement sur une année, dépendra de plusieurs paramètres qui sont propre à chaque partage (le type d’installation, la taille de celle-ci, les habitudes d’autoconsommation du producteur, vos habitudes de consommation de l’électricité, …). En … Continue reading "Pourquoi et comment augmenter une autoconsommation collective d’électricité solaire"

Le partage d’énergie à Bruxelles, c’est parti !

24 mars 2022

La hausse généralisée des prix de l’énergie préoccupe – à juste titre – de nombreux ménages et mobilise l’attention politique.  Depuis 7 mois, l’inflation a gagné le marché international de l’énergie, en raison de la hausse des prix du carbone et surtout des combustibles fossiles (le gaz en premier lieu). A cela s’ajoute aujourd’hui la guerre en Ukraine et la perspective d’une réduction ou d’un boycott des hydrocarbures russes, ce qui bouleverse la géopolitique énergétique européenne.  Or il n’a jamais été aussi clair que l’énergie la moins chère à produire (chaleur et électricité confondue), c’est l’énergie renouvelable.  Elargir et démocratiser l’accès direct aux énergies renouvelables, via l’autoproduction locale, permet de s’affranchir du marché international de l’énergie – et ses fluctuations de prix – et de maîtriser sa facture énergétique moyen et à long terme.  Vive les Communautés d’énergie ! Soutenu par deux directives européennes, le principe des Communautés d’énergie permet précisément de partager une production locale d’électricité – par exemple une école équipée de panneaux photovoltaïques – avec des consommateurs à proximité (ménages, entreprises, administration, …), à un tarif avantageux.  Des projets-pilotes existent déjà en Belgique, notamment à Bruxelles, avec une dimension sociale et solidaire (lire notre article Des logements sociaux à St-Gilles mettent leur énergie en commun).  Le partage d’énergie au sein d’un bâtiment ou au sein d’une Communauté offre ainsi des solutions collectives aux nombreux Bruxellois qui ne peuvent pas produire eux-mêmes une électricité solaire, par manque de moyens financiers ou d’accès à une toiture.  Il s’agit donc d’une grande avancée pour la démocratie énergétique !  Une ordonnance bruxelloise  Le Parlement bruxellois vient précisément d’adopter un cadre légal.  En effet, une ordonnance, qui entrera en vigueur début avril, rend possible le partage d’énergie entre clients actifs et la création de Communautés … Continue reading "Le partage d’énergie à Bruxelles, c’est parti !"

Un Facilitateur pour le partage d’énergie à Bruxelles

25 mars 2022

Le Parlement bruxellois a adopté une importante réforme des marchés de l’énergie bruxellois. Les citoyens, entreprises et pouvoirs publics peuvent désormais se réunir pour produire et consommer ensemble une énergie renouvelable locale, à un tarif avantageux – par exemple, une école équipée en panneaux photovoltaïque et qui partage la production d’électricité solaire avec des consommateurs à proximité (lire notre article Le partage d’énergie à Bruxelles, c’est parti !). Les consommateurs peuvent ainsi se protéger de l’inflation, maîtriser leur facture d’énergie et participer à une transition énergétique socialement juste. Pour les accompagner dans cette démarche, la Région bruxelloise offre les services gratuits d’un Facilitateur « Partage et Communautés d’énergie ». Les porteurs de projet pourront ainsi obtenir des conseils juridiques, techniques, administratifs, de communication et de mobilisation de participants. Pour demander un rendez-vous téléphonique, voici la démarche à suivre.

Hydroélectricité : des solutions pour limiter les impacts sur les anguilles et les saumons 

1 avril 2022

La filière hydroélectrique cherche constamment des solutions pour réduire la mortalité des poissons qui franchir les centrales hydroélectriques.  Le 17 février dernier, le consortium du projet européen Life4Fish (Luminus, UNamur, ULiège, Profish technologies, EDF R&D) présentait les résultats de mise en œuvre de différents moyens de protection de deux espèces de poissons migrateurs, l’anguille argentée et le smolt de saumon atlantique, au droit des centrales hydroélectriques de la Meuse.   En voici les principaux enseignements.  Des poissons migrateurs sensibles  Deux grandes espèces de poissons migrateurs amphihalins sont présents dans la Meuse : l’anguille argentée et le smolt de saumon atlantique.   Ces poissons doivent obligatoirement passer une partie de leur cycle de vie en rivière et une autre en mer. Leur survie dépend du succès de ces migrations entre ces deux milieux. C’est sur deux espèces que se concentrent la majorité des efforts et du suivi.   La menace qui pèse actuellement sur les populations d’anguilles a amené l’Union européenne à légiférer : il s’agit pour les Etats Membres de prendre des mesures pour que chaque bassin hydrographique de l’anguille permette l’échappement vers la mer d’au moins 40% en moyenne de la biomasse d’anguilles adultes (anguilles argentées capables de se reproduire). Ces mesures devraient permettre une migration d’un stock assez important d’anguilles vers leur lieu de reproduction, la mer des Sargasses, à 6000 km des côtes européennes.  Nombreuses causes de mortalité  Les causes de mortalité des anguilles au stade adulte sont nombreuses : surpêche, pollutions, modifications du milieu marin, contamination, prédations, disparition ou détérioration des habitats en rivière, état sanitaire des populations, changement climatique affectant le Gulf Stream nécessaire pour leur migration, mortalité dans différentes prises d’eau industrielles…  La dévalaison des anguilles par les turbines hydroélectriques apparaît également comme une cause du déclin … Continue reading "Hydroélectricité : des solutions pour limiter les impacts sur les anguilles et les saumons "

Le port d’Anvers-Bruges, futur pôle de l’hydrogène vert en Europe 

29 avril 2022

Les ports d’Anvers et Zeebruges ont officiellement fusionné ce 22 avril 2022.  Les deux sites, très complémentaires et désormais rebaptisés port d’Anvers-Bruges, deviennent ainsi un acteur maritime majeur en Europe, notamment pour l’exportation de marchandises.  Ce nouvel acteur se positionne également comme hub européen de la transition énergétique.  Capture de carbone et “Power-to-methanol »  Ainsi, un projet pilote de capture de carbone séquestrera d’ici 2025 un stock de 2,5 millions de tonnes de CO2 au sein de l’industrie portuaire, qui sera ré-utilisé comme matière première pour diverses applications. L’objectif est de capturer la moitié des émissions de CO2 du port d’ici 2030.  A termes, le port d’Anvers-Bruges pourrait éviter l’émission de 14 millions de tonnes de CO2 par an. Un chiffre impressionnant qui inspire déjà d’autres acteurs portuaires dans le monde.   Un consortium de 7 acteurs développe actuellement un projet de démonstration “Power-to-methanol ». Ce procédé combine le carbone capturé et l’hydrogène vert afin de produire du méthanol durable, utilisé dans les process industriels. Une tonne de méthanol produite, c’est une tonne de CO2 en moins.  Le port d’Anvers-Bruges compte également jouer un rôle majeur dans la production et le transport de l’hydrogène vert.  Pourquoi l’hydrogène vert   L’hydrogène est le chaînon manquant pour atteindre un système énergétique 100% renouvelables.   L’hydrogène vert – produit par électrolyse de l’eau – constitue le vecteur idéal pour stocker les productions d’électricité éolienne et solaire quand elles sont abondantes – beaucoup de vent en hiver et de soleil en été – puis restituer cette électricité sur le réseau quand le vent et le soleil font défaut et que les productions renouvelables sont donc plus faibles.    On parle de stockage inter saisonnier car l’hydrogène peut se stocker sous différentes formes (gaz et liquides) très stables durant de nombreuses … Continue reading "Le port d’Anvers-Bruges, futur pôle de l’hydrogène vert en Europe "

John Cockerill développera une “gigafactory” d’électrolyseurs en Belgique 

13 mai 2022

L’industriel wallon John Cockrill est aujourd’hui leader des électrolyseurs de grande capacité (+6 MW), avec 20% des parts du marché mondial en 2020.  Le groupe multiplie les “gigafactories” dans le monde et annonce désormais l’ambition de construire une filière hydrogène 100% européenne.  Une première implantation a été choisie en Alsace, où les premiers électrolyseurs 100% européens devraient sortir de production début 2023 pour atteindre progressivement une cadence menant à une capacité de production cumulée d’un Gigawatt.  Mais la guerre en Ukraine et la volonté européenne d’accélérer sa transition énergétique poussent l’industriel à créer une deuxième “gigafactory”, qui sera implantée en Belgique, révèle ainsi le journal L’Echo (12 mai 22).  Des négociations sont actuellement en cours pour choisir un site en Wallonie et ouvrir le capital à la SRIW.  Le projet en Alsace devrait créer 700 emplois. On imagine que le projet belge aura un impact socio-économique similaire.  D’ici 2025, un quart du chiffre d’affaires du groupe proviendra du secteur hydrogène. Une étape décisive pour décarboner l’industrie et la mobilité  Rien qu’en considérant les hauts fourneaux, la production d’acier rejette chaque année 2,4 milliards de tonnes de CO2 dans l’atmosphère. Il en va de même pour la chaux, la pétrochimie, et bien d’autres industries encore. Quant au secteur du transport, il représente la deuxième source de gaz à effet de serre au monde.  Pour décarboner ces nombreux processus industriels ou moyens de transport (trains, camions, bus, bateaux, …), le défi consiste à remplacer les énergies fossiles par de l’hydrogène vert.  C’est ici que les électrolyseurs jouent un rôle majeur : l’électrolyse permet en effet de fabriquer de l’hydrogène vert à partir d’eau et d’électricité de sources renouvelables.  Voici quelques applications concrètes.  Décarboner l’industrie de la chaux   John Cockerill collabore actuellement … Continue reading "John Cockerill développera une “gigafactory” d’électrolyseurs en Belgique "

Les énergies renouvelables sont désormais présumées d’un “intérêt public supérieur” 

24 mai 2022

Le plan d’action REPowerEU, présenté le 18 mai dernier, précise que les énergies renouvelables sont au cœur de la sécurité énergétique de l’Europe. Et surtout, il s’attaque aux goulots d’étranglement des autorisations qui freine l’expansion de l’éolien et du solaire.   Ainsi, une nouvelle loi consacrera le principe selon lequel les projets d’énergies renouvelables sont présumés être d’un « intérêt public supérieur ».   Cela signifie que leur construction peut être priorisée dans la crise énergétique actuelle au cas par cas et jusqu’à ce que la neutralité climatique soit atteinte.   La directive européenne sur les énergies renouvelables, en cours de révision, intègrera ainsi une nouvelle proposition législative visant à accélérer l’autorisation des projets renouvelables.  La proposition législative crée également des zones renouvelables « incontournables » que les gouvernements nationaux doivent mettre en place sur la base d’une évaluation environnementale stratégique. Dans ces zones, les projets devront être autorisés dans un délai d’un an.  Enfin, la Commission conserve les délais d’autorisation existants – 2 ans pour les nouveaux projets normaux et 1 an pour les projets de repowering – mais précise quels permis et procédures doivent être délivrés dans ces délais.  En outre, des recommandations détaillées et des documents d’orientation expliquent comment les gouvernements peuvent simplifier leurs processus d’autorisation. Un nouveau guide décrit ainsi les meilleures pratiques en matière d’autorisations dans toute l’Europe et montre ce qui fonctionne : comment numériser les processus, garantir que les autorités publiques travaillent mieux ensemble, etc.  Renforcer la filière industrielle  Le PDG de la fédération WindEurope, Giles Dickson, a déclaré : “Le plan d’action REPowerEU tape en plein dans le mille. L’Union européenne veut faire passer l’énergie éolienne de 190 GW aujourd’hui à 480 GW en seulement 8 ans. Mais vous ne pouvez le faire que si vous … Continue reading "Les énergies renouvelables sont désormais présumées d’un “intérêt public supérieur” "

Installer du photovoltaïque aujourd’hui : Voici 5 choses à faire et 2 à ne pas faire 

25 mai 2022

Vous envisagez d’installer du photovoltaïque sur votre toit ?  Voici 5 choses à faire !  Placez un maximum de panneaux  Installez le plus de panneaux possibles sur votre toit, en fonction de la surface et de votre capacité de financement.  Ne vous limitez surtout pas à votre consommation annuelle. La limite c’est 10 kVA onduleur.   Et, non, il n’y a pas de taxe à l’injection.   Pourquoi viser un maximum de panneaux ?  Parce que :  C’est aujourd’hui l’énergie la moins chère pour un ménage.  Vous pouvez électrifier la production de l’eau chaude sanitaire (donc moins de gaz, mazout ou autre pellets).  Vous aurez de quoi alimenter un futur véhicule électrique.  Vous pourrez revendre votre électricité excédentaire à partir de 2024.  Installez à l’Est et à l’Ouest  Installez, si possible, des panneaux à l’Est et à l’Ouest. C’est la configuration idéale qui vous permet d’avoir une production solaire bien répartie du lever au coucher du soleil, plutôt qu’un grand pic à midi.  Vous ne perdez que 15% par rapport au Sud et vous optimisez plus longtemps vos plages de production et de consommation. Vous prélevez ainsi moins d’électricité du réseau, la seule que vous payez. Bref, vous autoconsommez plus longtemps, sans devoir y penser.  Mais si votre toiture est plein sud c’est bien aussi.  Placez un compteur communiquant  Parce que :  C’est gratuit.  Cela vous permet de limiter votre taxe réseau en la payant uniquement sur l’électricité prélevée (il n’y a pas de taxe d’injection).  Cela vous permet de revendre votre électricité excédentaire à partir de 2024.   4. Stocker l’électricité sous forme d’eau chaude sanitaire  Placez un système qui permet de stocker l’électricité sous forme d’eau chaude sanitaire, soit via un boiler électrique (c’est le moins cher) soit via une pompe … Continue reading "Installer du photovoltaïque aujourd’hui : Voici 5 choses à faire et 2 à ne pas faire "

5 questions sur les communautés d’énergie à Bruxelles

28 juin 2022

Sous l’impulsion européenne, la nouvelle ordonnance bruxelloise vient de voir le jour et permet à tout client actif de rejoindre une communauté d’énergie et de participer à un partage d’électricité. Une pratique révolutionnaire qui est en pleine évolution et où plusieurs points doivent encore être clarifiés. Néanmoins, Renouvelle tente de vous résumer les grandes lignes du principe du partage et des communautés d’énergie en 5 questions.

Quel est l’intérêt de développer la biomasse en centre-ville ?

28 juin 2022

La question des émissions de particules produites par les chaudières biomasse (bois, pellet, plaquette) a été posée lors d’un séminaire sur les réseaux de chaleur. La ville de Bruxelles possède en effet une réglementation sur la qualité de l’air stricte envers les systèmes polluants. L’ICEDD (Institut de Conseil et d’Etudes en Développement Durable) a répondu à cette question en précisant que si le système biomasse est centralisé et performant et qu’il dispose d’un système de filtre, la pollution émise par les fumées est nettement moins importante que des systèmes à biomasse classiques individuels (poêle à bois, pellets, chaudière à plaquettes, …). La remise en question de développer la biomasse à Bruxelles serait plutôt autour de l’approvisionnement et de la disponibilité en ressource locale (bois, déchets de bois, résidus de taille d’arbres,….). Pour l’approvisionnement local, la région pourrait s’inspirer de projet comme celui développé à Louvain-la-Neuve, où le réseau de chaleur qui alimente plusieurs bâtiments de l’UCL avec des déchets de bois récupéré dans les centres de tri (palettes, meubles et autres résidus valorisables énergétiquement). À Charleroi, les réseaux de chaleur utilisant de la biomasse locale, seront surtout développés dans la périphérie de la ville, là où certaines cultures dédiées pourraient être cultivées sur des friches. Cette carte ci-dessus, illustre le potentiel de la ville de Charleroi : les zones bleues représentent le potentiel de réseaux de chaleur utilisant la géothermie minière pour alimenter le centre urbain, en rouge le potentiel de réseaux alimentés par des industries qui ont de la chaleur fatale à revaloriser, et en brun, les zones urbaines avec un potentiel de micro réseau de chaleur biomasse à développer.

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