Un nouveau parc éolien de 8 turbines a été inauguré à Gouy-lez-Piéton, capable d’alimenter près de 15.000 foyers en électricité verte et locale.
Gouy-lez-Piéton a inauguré son premier parc éolien

Un nouveau parc éolien de 8 turbines a été inauguré à Gouy-lez-Piéton, capable d’alimenter près de 15.000 foyers en électricité verte et locale.
Projet plein de promesses pour la transition énergétique de la Belgique, les espoirs d’accomplissement des prochaines phases de l’île énergétique Princesse Elisabeth semblent coulés.
Située à Salmisaari, au cœur d’Helsinki, la dernière centrale électrique au charbon du pays vient de fermer ses portes. Point final d’une politique énergétique désormais résolument tournée vers les sources bas carbones.
Le déploiement des énergies renouvelables peut parfois rencontrer une forme d’opposition citoyenne. Mais si nous vous disions que les terrains de golf occupent bien plus de place que celle pour le renouvelable ?
La capacité prospective des projets solaires et éoliens à grande échelle a progressé de 20 % en 2024, passant de 3,6 TW à 4,4 TW, l’année passée. Mais la construction de nouveaux projets est à la traîne.
C’est un défi qu’ont décidé de se lancer 34 coopératives d’énergie belges afin de motiver les citoyens à s’impliquer davantage dans la transition énergétique et profiter des bienfaits d’une énergie verte.
Le niveau des énergies renouvelables a atteint un record dans le pays alors, qu’en parallèle, la production d’électricité à partir de combustibles fossiles atteint son niveau le plus bas.
En 2024, 28 nouveaux mâts ont été installés en Wallonie, ajoutant 105 MW de capacité. Mais la reprise du secteur, entamée en 2022, s’essouffle et peine à atteindre les objectifs régionaux.
Une bonne nouvelle pour l'énergie en ce début d’année : en 2024, près de la moitié de l’électricité en Europe provenait de sources renouvelables. C’est ce que révèle le dernier rapport d’Ember.
Le SPF Economie a officialisé le début du processus d’attribution pour la construction ainsi que l’exploitation du premier parc offshore de la zone Princesse Elisabeth.
Annoncée comme la première île énergétique au monde, sa construction pourrait prendre l’eau à cause de la hausse de son coût. Évaluée à 2,2 milliards d’euros, elle pourrait en coûter 7 milliards.
On connaissait déjà les maisons conteneurs aux Pays-Bas. Et si on faisait la même chose, mais avec des éoliennes, cette fois ?