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Renouvelle L'actualité de l'énergie durable
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En Wallonie, des plateformes locales aident les ménages à rénover leur logement

18 mars 2019

  Des logements très mal isolés   La Wallonie dispose d’un parc de logements anciens et vétustes, qui représente le principal poste de consommation régionale d’énergie et d’émissions de CO2. Le graphique ci-dessous résume l’ampleur du défi pour passer d’un parc en moyenne très énergivore (label PEB de classe « F ») vers un parc très performant (objectif wallon de tendre vers le label « A » d’ici 2050). Le parc wallon comporte environ 1.500.000 logements dont : 11 % ne possèdent aucune isolation ; 40 % des toitures restent à isoler ; 19 % sont équipés de simples vitrages ; 79% ne possèdent pas une isolation de la dalle de sol ; 71% ne possèdent pas une isolation complète de leurs murs extérieurs.   Des freins à la rénovation   S’il est relativement facile d’établir et imposer un cadre de Performance Energétique des Bâtiments (PEB) très exigeant pour les constructions neuves, il en va tout autrement pour rénover ces logements existants. La Wallonie s’est fixé 3 outils pour y arriver : Le passeport bâtiment, La feuille de route rénovation, Le guichet unique. Lire à ce sujet notre article Rénovation énergétique 2050 : voici le passeport bâtiment. Mais dans l’immédiat, force est de constater que de nombreux freins empêchent la mise en œuvre de chantiers de rénovation énergétique (à peine 1% par an). Malgré les incitants et primes, les ménages rencontrent certaines difficultés à percevoir les intérêts (notamment financiers) d’un tel projet, à réunir le budget (parfois très conséquent) pour réaliser les travaux et à assumer les aspects techniques, administratifs et logistiques que représentent un tel chantier dans leur logement. Du côté des professionnels du bâtiment, on constate que les différents corps de métiers sont peu enclins à réaliser de petites interventions sur un grand nombre de … Continue reading "En Wallonie, des plateformes locales aident les ménages à rénover leur logement"

Le photovoltaïque reste rentable en Wallonie, même avec le tarif prosumer

21 mars 2019

De nombreux ménages wallons se décident actuellement à s’équiper en photovoltaïque, suite à l’annonce d’une possible exonération du tarif prosumer pour toute installation avant le 1er juillet 2019, ce qui offrirait une meilleure rentabilité. Ce regain d’installation est en soi une bonne nouvelle pour le développement de la filière photovoltaïque en Wallonie et pour la lutte contre le réchauffement climatique. Renouvelle souhaite cependant temporiser cet effet ponctuel car, à ce stade : rien ne dit que les installations existantes seront effectivement exonérées du tarif prosumer ; l’investissement reste rentable et bénéfique pour la collectivité (même avec cette redevance). Nous développons ci-dessous une analyse des enjeux ainsi qu’un calcul détaillé de la rentabilité solaire, avec ou sans tarif prosumer. Contexte politique et institutionnel Le ministre wallon de l’énergie a effectivement déposé une proposition de décret motivant une exonération du tarif prosumer pour tout système installé avant le 1er juillet 2019. Cependant, le gouvernement wallon – qui vient de perdre sa majorité au parlement et se voit donc limité dans son action – n’a pas encore adopté ce décret et il n’est pas sûr qu’il y parvienne avant les élections régionales du 26 mai prochain. Ensuite, soulignons que la CWaPE – régulateur du marché wallon de l’énergie – estime que cette initiative empiète sur ses compétences tarifaires (découlant des directives européennes et visant à protéger l’intérêt des utilisateurs du réseau). Si ce décret devait être adopté, la CWaPE introduira probablement un recours. Ce serait alors à la justice de se prononcer, ce qui prendra quelques mois. Au final, il est donc possible – voire probable – qu’un tarif prosumer soit, dans tous les cas, appliqué à tous les prosumers un jour ou l’autre, peu importe la date d’installation. Compte tenu de la grande incertitude … Continue reading "Le photovoltaïque reste rentable en Wallonie, même avec le tarif prosumer"

Carte solaire : Combien pourrait rapporter votre toit ?

4 avril 2019

Saviez-vous que Bruxelles a de l’or plein les toits ? Notre ville compte en effet 20 millions de m2 de toitures avec un excellent potentiel solaire mais seulement 3% des toits bruxellois sont munis de panneaux photovoltaïques. Or les ménages qui s’équipent de panneaux solaires peuvent réaliser d’importantes économies sur leur facture d’électricité. Pour sensibiliser et motiver les Bruxellois(e)s, Bruxelles Environnement lance donc une campagne printanière qui montre les gains financiers possibles (voir illustrations). Et pour connaître vos gains potentiels, il vous suffit d’encoder votre adresse sur Cartesolaire.brussels. Cet outil à la fois puissant et pédagogique vous donnera un aperçu global du potentiel solaire de votre toit (faible, bon, excellent) et vous permettra de faire une simulation financière précise (investissement, vente de certificats verts sur 10 ans et économie sur votre facture d’électricité). Et dans la grande majorité des cas, ces investissement solaires sont rentables ! Vous pourrez également afficher le gain pour l’environnement (tonnes de C02 évitées). Booster la production photovoltaïque à Bruxelles Cet outil s’inscrit dans la politique de déploiement des énergies renouvelables à Bruxelles, où l’énergie solaire représente le plus grand potentiel. La Région compte booster sa production photovoltaïque en passant de 42 GWh (en 2016) à 184 GWh d’ici 2030. Un défi ambitieux auquel tous les citoyens peuvent participer.

Des scientifiques belges réalisent un record mondial de production d’hydrogène solaire

17 avril 2019

Ce n’est pas la première fois que Renouvelle aborde la question du stockage de l’énergie renouvelable de flux (vent et soleil) sous forme d’hydrogène. Ce type de stockage a comme intérêt majeur son caractère inter-saisonnier d’une part, et sa densité énergétique d’autre part. Autrement dit, on peut le produire l’été et l’utiliser l’hiver tout en le stockant dans des volumes plus raisonnables qu’une batterie chimique d’aujourd’hui. Une avancée technologique Une équipe de l’Université de Louvain (KUL) a annoncé dans un communiqué, fin février 2019, la mise au point d’un panneau solaire capable de convertir directement 15% de la lumière du soleil en hydrogène gazeux. Un record mondial ! En quoi est-ce une nouveauté ? La nouveauté réside dans le fait que la production de l’hydrogène ne passe pas, dans ce cas-ci, par une première étape de production d’électricité. Ce n’est donc pas de la production d’électricité solaire (PV) couplée à de l’électrolyse, c’est de la PhotoElectroChimie (PEC). Ce procédé évite ainsi 2 étapes de transformations, ce qui limite les pertes. Il offre dès lors un meilleur rendement de conversion de la lumière (énergie de flux) en hydrogène (énergie de stock), comme l’illustre la figure suivante, issue de cette publication scientifique. Les étapes de transformation du courant électrique en courant alternatif (90%) et d’électrolyse de l’eau (75%) n’existent plus dans le schéma PEC, soit un rendement avant stockage qui passe de 13,5 à 15%. Un record mondial. L’autre innovation réside dans le fait que l’hydrogène n’est pas produit à partir d’eau liquide, mais à partir de la captation de l’humidité de l’air. C’est une grande évolution car l’électrolyse de l’eau nécessite, elle, des quantités d’eau liquide fortement purifiée. Mieux que le solaire photovoltaïque ? L’hydrogène solaire est-il plus performant que le photovoltaïque ? Pas vraiment … Continue reading "Des scientifiques belges réalisent un record mondial de production d’hydrogène solaire"

Le marché européen du carbone passe les 100 euros la tonne pour la première fois.

24 février 2023

Lancé en 2005, le marché européen du carbone est un outil essentiel pour réduire les gaz à effet de serre émis en Europe. Ce mécanisme fonctionne selon le principe du pollueur-payeur et fixe, pour de nombreux secteurs industriels, un plafond d’émissions de CO2 autorisées, sous forme de quotas alloués. Les entreprises qui dépassent ce seuil doivent alors acheter sur le marché carbone des quotas vendus par les entreprises qui, elles, ont réussi à réduire leurs émissions au-delà de leur objectif de réduction. Depuis 2012, ce plafond diminue chaque année afin de faire baisser le niveau total des émissions en Europe. De plus, une partie croissante des quotas d’émissions n’est plus distribuée gratuitement, mais doit être achetée directement aux états membres par les entreprises. De ce fait, les recettes fiscales liées au marché carbone augmentent et permettent de financer des projets réduisant les émissions de gaz à effet de serre. En savoir plus sur le marché européen du carbone. Ce mécanisme – baptisé « système d’échange de quotas d’émission » ou ETS (Emission Trading Scheme) – a cependant connu de nombreuses limites et critiques (lire notre article et interview : Une nouvelle vie pour le marché européen du carbone ?). En effet, malgré un démarrage prometteur, le prix de la tonne de CO2 a chuté et stagné à un faible niveau durant de longues années, ce qui n’a pas incité les industriels à faire les efforts attendus. Suite à une réforme du mécanisme, on assiste désormais à une nouvelle tendance : ces dernières années, le prix du carbone est d’abord passé de 5 à 20€ la tonne où il a stagné jusqu’en 2021 avant de grimper et d’atteindre, cette semaine, un record à plus de 100 euros la tonne. Ci-dessous un … Continue reading "Le marché européen du carbone passe les 100 euros la tonne pour la première fois."

Technologies solaires : astuces générales pour les reconnaître

18 avril 2019

Plusieurs technologies de panneaux solaires, photovoltaïques (PV) et thermiques existent. Mais beaucoup de gens ont du mal à les distinguer à l’œil nu. Pourtant, dans certains cas, c’est facile quand on sait ce qu’il faut regarder. Parfois, les journalistes confondent même les panneaux solaires thermiques et photovoltaïques, et utilisent des photos des mauvais exemples pour leurs articles. Ceci ne rend pas un grand service à l’information du grand public. Beaucoup de gens sont curieux par rapport aux différentes technologies solaires existantes et souhaitent les reconnaître, mais il leur manque quelques petits trucs pour pouvoir y parvenir. Voici donc quelques astuces pour les reconnaître en un simple coup d’œil. Il existe deux types principaux de panneaux solaires : les panneaux solaires photovoltaïques (PV) qui transforment la lumière en électricité, et les panneaux solaires thermiques qui transforment la lumière en chaleur. Il existe également un cas mixte, les panneaux solaires hybrides, qui combinent les deux technologies sur un même panneau solaire, mais qui sont beaucoup moins fréquents. Nous reprenons ces technologies une par une, et dans chaque technologie principale nous analysons les différents types de technologies existantes. Cet article ne prétend pas présenter toutes les technologies, qui de toute façon évoluent sans cesse au cours du temps. Il présente uniquement les technologies les plus courantes, et qui sont observées sur plus de 99% des installations croisées aux quatre coins de la Belgique.   Panneaux solaires thermiques Il existe deux catégories principales de panneaux solaires thermiques : les collecteurs plans et les tubes à vide. Dans tous les cas, on observe des tuyauteries autour de ces panneaux, puisque les panneaux solaires thermiques relèvent surtout du domaine de la plomberie.   Panneaux thermiques collecteurs plan   Le concept des panneaux solaires thermiques plan est … Continue reading "Technologies solaires : astuces générales pour les reconnaître"

Bruxelles développe ses infrastructures pour bus électriques

14 mai 2019

La Région bruxelloise et sa société de transports en communs (STIB) développent actuellement des infrastructures en vue d’électrifier leur flotte de bus et opérer ainsi une mutation vers une mobilité propre. Renouvelle vous propose un focus sur les avancées bruxelloises et reviendra prochainement sur le développement des bus électriques en Wallonie. Un scénario 100% électrique A Bruxelles, la stratégie d’électrification s’appuie notamment sur le projet européen Eliptic, qui vise à utiliser les infrastructures électriques existantes des transports en communs (metros, trams, trolleybus, …) pour y connecter et recharger des bus électriques. Grâce à cette approche, il s’avère en effet possible d’électrifier une flotte de bus à moindres coûts. Or, dans le cas de la Région bruxelloise, une analyse – basée sur une modélisation de la VUB – montre que le réseau électrique 11 kV propre à la STIB est suffisamment puissant pour y recharger l’ensemble des bus, y compris dans un scénario où toute la flotte deviendrait électrique. La recharge pourrait s’opérer dans 3 dépôts de bus proches du réseau électrique de la STIB, durant la nuit, lorsque le service est à l’arrêt. L’étude prend en compte les caractéristiques du service de bus bruxellois : longueur des lignes, nombre de km parcourus sur chaque ligne, gabarits des bus (petits, moyens ou grands) et donc leurs différents (et futurs) besoins électriques, augmentation du nombre de bus mis en en circulation, … Les conclusions sont claires : rechargés la nuit, tous les bus peuvent redémarrer dès le matin avec une autonomie électrique suffisante pour assurer leur service toute la journée (lire le rapport du projet Eliptic pour le cas bruxellois). Premiers bus électriques à Bruxelles Forts des conclusions de cette étude, la Région bruxelloise et la STIB ont donc décidé de tester cette transition … Continue reading "Bruxelles développe ses infrastructures pour bus électriques"

Un guide pratique pour la transition énergétique locale

23 mai 2019

Une commune désirant s’engager dans la transition énergétique peut bénéficier de nombreux guides, outils, fiches bonnes pratiques et autres modèles publiés par la Convention des Maires et ses coordinateurs territoriaux (Région, provinces, intercommunales, etc.). Mais force est de constater qu’il est difficile de s’y retrouver dans cette multitude de ressources. De plus, le nombre de thématiques à prendre en compte dans ces plans climat ne cesse de croitre avec la prise de conscience progressive de l’interconnexion des enjeux environnementaux, sociaux, économiques, démocratiques et culturels de cette transition. C’est pourquoi la Wallonie a décidé de publier un nouveau guide pratique (mai 2019), réalisé par l’APERe, l’UVCW et l’Institut Eco-Conseil. Ce guide a pour objectif de permettre aux décideurs et agents communaux de structurer leur approche autour de ces enjeux pour co-construire avec les acteurs locaux la stratégie adaptée à leur territoire. Truffé de liens vers les outils et bonnes pratiques disponibles, il est axé sur quatre questions de base entre lesquelles l’utilisateur peut naviguer au gré de l’avancement de son action. Pourquoi un plan d’action énergie durable et climat communal (PAEDC) ? Les communes ont un rôle primordial à jouer dans l’atténuation du changement climatique et l’adaptation à ses impacts. Le guide pratique montre en quoi un plan climat permet aux communes de réduire leur impact environnemental et d’améliorer leur capacité à absorber et dépasser les chocs à venir (résilience) dans une optique de développement d’un cadre de vie de qualité pour leurs citoyens. De quoi aborder les enjeux sociaux, économiques, culturels et démocratiques des prochaines années. Qu’est-ce que j’y gagne ? Cette partie du guide identifie les bénéfices directs générés pour une commune qui mets en place un tel plan. Diminution de la pression de la facture énergétique sur le budget communal, visibilité … Continue reading "Un guide pratique pour la transition énergétique locale"

Une prise électrique géante en mer du Nord

7 juin 2019

Un chantier spectaculaire s’achève en mer du Nord avec l’installation, en avril dernier, d’une prise électrique géante au large de Zeebruges (photos ci-dessus et ci-dessous). Transport de la prise électrique vers le grand large. Photos : Elia. Située à 40 km des côtes belges, cette prise fait partie d’un important réseau modulaire offshore (Modular Offshore Grid – MOG) qui permettra de regrouper l’électricité produite par 4 parcs éoliens (Rentel, Seastar, Mermaid et Northwester 2) et de l’acheminer jusqu’à la terre ferme par 3 câbles sous-marins conjoints jusqu’au poste à haute tension de Stevin à Zeebruges. Un véritable tour de force technique (voir schéma et photo ci-dessous). Voici le premier des 3 câbles sous-marins qui relieront le MOG au réseau électrique terrestre.   Meilleure disponibilité des parcs éoliens Jusqu’à présent, chaque parc éolien en mer du Nord était raccordé au réseau terrestre par un câble unique. Une panne peut donc entraîner l’arrêt et la perte totale de la production éolienne, tant que le raccordement est défectueux. Par contre, les 4 parcs éoliens en mer raccordés via le MOG offriront une disponibilité totale supérieure car la plateforme sera reliée au réseau terrestre par 3 câbles. En cas de panne de l’un des câbles, la production éolienne continuera à être livrée par les 2 autres câbles. Les pertes possibles de production seront limitées aux seuls moments où les 4 parcs tourneraient à plein régime en même temps, ce qui n’arrive qu’un tiers du temps. En outre, ce projet permet d’économiser 40 km de câbles et de réduire les coûts de raccordement. Le MOG sera opérationnel dès septembre 2019 et jouera un rôle essentiel pour intégrer une plus grande part d’électricité éolienne offshore dans le réseau belge. Elia prévoie en effet d’ores et déjà la … Continue reading "Une prise électrique géante en mer du Nord"

L’Agence Internationale de l’Energie se penche sur la voiture solaire

7 juin 2019

Une tâche, une vidéo Le solaire photovoltaïque (PV) intégré sur les voitures électriques fait encore parfois sourire. Et pourtant, un organisme aussi sérieux que l’Agence Internationale de l’Energie a lancé une tâche dédiée à la recherche en ce domaine, via son programme photovoltaïque (IEA-PVPS). Cette tâche s’intitule PV for Transport , les leaders sont japonais et les objectifs sont les suivants : Clarifier les bénéfices possibles/attendus et exigences pour le PV sur véhicules Identifier les barrières et les solutions pour satisfaire aux exigences Proposer des directions pour le déploiement de stations de recharge équipées de PV Estimer le potentiel contributif du PV dans le transport Concrétiser les actions dans un marché et accélérer la communication et les activités avec les parties prenantes telles que l’industrie photovoltaïque, l’industrie du transport etc. A titre de promotion, la tâche « PV for transport » dévoile une vidéo grand public : Le résultat attendu de cette tâche est de clarifier le potentiel d’utilisation du PV dans le transport et d’identifier les moyens pour concrétiser ces concepts. Du Solar Impulse à la voiture de monsieur-tout-le-monde Voici 9 ans, un avion solaire réalisait pour la première fois un vol de plus de 24h, propulsé par l’énergie solaire uniquement. Baptisé Solar Impulse, ce prototype a depuis lors réalisé un tour du monde complet, par étapes de mars 2015 à juillet 2016, soit 40.000 km sans carburant. Le projet et la vision Solar Impulse a initié le rêve d’une nouvelle génération de femmes et d’hommes qui souhaitent voyager et circuler proprement. Si la tâche de l’IEA-PVPS inclut bien les avions, il est évident que c’est au niveau du transport terrestre que le développement photovoltaïque s’avère le plus rapide et le plus démocratisable. En matière de voitures solaires, deux projets plus concrets émergent sur … Continue reading "L’Agence Internationale de l’Energie se penche sur la voiture solaire"

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