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Les mini-éoliennes « Tulipes » ne produiront quasi rien

5 septembre 2016

La commune de Donceel, en région liégeoise, annonce l’installation de 100 mini-éoliennes « Tulipes » sur plusieurs sites, en partenariat avec le fabricant américain Flower Turbines, qui souhaite en faire une plate-forme de démonstration en Europe. L’APERe, association belge de référence dans le domaine des énergies renouvelables, a aussitôt réagi par communiqué. « Malgré l’image novatrice de ce projet, l’APERe attire l’attention des autorités communales sur les nombreux risques et les retours d’expérience souvent négatifs qui ont été vécus en matière de micro-éoliennes et auxquels Flower Turbines ne semblent malheureusement pas échapper. » En effet, les éoliennes de faible puissance (inférieure à 50 kW) lancées sur le marché sont très rarement conformes à la norme internationale en matière de micro-génératrices – à savoir la norme IEC 61400-2. Des turbines non conformes Cette norme, européenne mais reconnue mondialement, garantit à la fois la solidité des matériaux, la fiabilité des composants électroniques, le respect des normes de bruit et, surtout, la certification du productible annuel, c’est-à-dire la garantie que le nombre de kWh annoncé sera bien produit annuellement pour chaque type de gisement venteux. On s’en doute, le processus de certification à la norme IEC exige de nombreux contrôles et analyses, ainsi que des tests approfondis sur site-pilote en conditions extrêmes. Ce processus entraîne pour le fabricant un coût important et impacte de manière significative le prix de vente de l’éolienne. Mais seule une machine certifiée conforme à la norme internationale permet d’avoir une garantie en matière de production électrique. Aucune garantie sur le productible Or, c’est précisément là que le bât blesse : la grande majorité des micro-éoliennes ne sont pas conformes à la norme, et rares sont les fabricants qui annoncent les performances réelles de leurs prototypes. « Résultat : les exemples foisonnent de micro-éoliennes … Continue reading "Les mini-éoliennes « Tulipes » ne produiront quasi rien"

Et maintenant : place à l’autoproduction !

20 mai 2016

Oui … et non, c’est une question de point de vue Si je me place du côté du prosumer, ce qui m’importe, c’est que l’électricité que je consomme provienne le plus possible de mon installation photovoltaïque. Un peu comme si j’étais devenu mon propre fournisseur d’électricité : au-delà d’une éventuelle diminution de prix, la seule plus-value qualitative de mon nouveau fournisseur est qu’il m’assure une grande proportion d’énergie « verte ». Un prosumer a donc intérêt à ce que l’électricité qu’il consomme soit la plus autoproduite possible. > Autoproduction, mon souci est donc : d’où vient l’électricité que je consomme ? Si je me place du côté du réseau électrique, ce qui m’importe, c’est de prévoir si j’aurai assez de production, d’où qu’elle vienne, pour assurer la consommation. Les réseaux étant dimensionnés en capacité décroissante vers la basse tension, mon souci spécifique « photovoltaïque » est d’éviter que mon réseau soit inondé de cette puissance solaire en plein midi (congestion, surtensions). Je souhaite donc qu’un maximum de la production photovoltaïque décentralisée puisse être, simultanément, consommée sur place. > Autoconsommation, mon souci est donc : où va l’électricité photovoltaïque produite ? Graphiques : deux points de vue pour un même profil prosumer. Non, ce n’est pas la même chose Non, ce n’est pas la même chose, car l’impact d’un discours ou de l’autre est radicalement différent. En effet, le point commun est que l’acteur visé est, dans les deux cas, celui qui vit sous les capteurs photovoltaïques. Et cette personne aura un comportement radicalement différent en fonction de la manière dont je m’adresse à elle. Si je lui parle d’autoconsommation, je vais lui imposer le souci de « où va l’électricité que je produis ? ». Il s’agit évidemment d’une question hors de propos … Continue reading "Et maintenant : place à l’autoproduction !"

L’électrolyse de l’eau pour valoriser l’électricité renouvelable excédentaire

9 septembre 2015

Les anglo-saxons l’ont baptisée « Power-to-Gas » (PtG). Une solution qui consiste à utiliser l’électricité excédentaire des productions renouvelables – principalement éoliennes et solaires – pour produire par électrolyse de l’oxygène (O2) et de l’hydrogène (H2). Ces gaz peuvent alors être aisément stockés ou valorisés à travers différents usages. De quoi répondre à la question de la variabilité du renouvelable. La société flamande Hydrogenics, située à Oevels près d’Anvers, est l’une des rares entreprises belges à explorer cette piste. Elle nous a expliqué son intérêt. Sur le papier, la démarche est séduisante. L’électricité (ici renouvelable) produit, par électrolyse, de l’eau, de l’oxygène (O2) et de l’hydrogène (H2). Le premier gaz peut être rejeté dans l’atmosphère ou commercialisé, notamment dans les hôpitaux. De son côté, l’hydrogène peut aisément trouver preneur dans l’industrie, en particulier celle de la chimie et celle de la pétrochimie. Il constitue aussi une des pistes en matière de mobilité (gaz combustible, hydrogène carburant, méthanol, CNG…) pour s’affranchir des carburants fossiles. Mais le plus intéressant, pour ceux qui planchent sur la transition énergétique, c’est que cet hydrogène peut aussi être injecté tel quel dans le réseau de gaz de ville, sous sa forme initiale (H2), bien que dans des proportions très limitées : 2 à 3% au stade actuel. Cette limite est imposée par les gestionnaires de réseaux de gaz pour diverses raisons liées à la sécurité, à la structure des canalisations et des citernes de stockage, ou à la compatibilité avec les utilisateurs finaux (certaines turbines à gaz n’acceptent que de très faibles taux d’hydrogène). Or cette limite n’a plus lieu si on méthanise l’hydrogène pour en faire un méthane de synthèse. La fameuse question du stockage se trouve ainsi techniquement résolue via un autre vecteur – le gaz … Continue reading "L’électrolyse de l’eau pour valoriser l’électricité renouvelable excédentaire"

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