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Renouvelle L'actualité de l'énergie durable
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Premiers projets pilotes d’autoconsommation collective à Bruxelles

12 décembre 2019

  Il se prépare actuellement deux projets pilotes d’autoconsommation collective en Région Bruxelloise, sur deux écoles : Saint-Augustin à Forest et Nos bambins à Ganshoren (photo ci-dessus). Le premier projet est développé par Sun for School, le second par l’APERe, en collaboration avec Sibelga. Ces deux écoles, déjà équipées en panneaux photovoltaïques, pourront, à terme, vendre leur surplus d’électricité à des ménages qui habitent le quartier (raccordés au même poste basse-tension) et qui participeront aux deux communautés d’énergies renouvelables locales. De manière générale, les écoles sont des bâtiments particulièrement intéressants pour développer une autoconsommation collective. En effet, lorsque l’école est fermée et ne peut donc pas consommer son électricité solaire, la production photovoltaïque peut être partagée à des voisins : les mercredi après-midi, les week-ends, durant les vacances scolaires (en juillet-août notamment, lorsque la production solaire est élevée), …   Ces périodes représentent 64% de la production photovoltaïque à Forest et 83% à Ganshoren. La production, au lieu d’être aveuglément injectée dans le réseau, pourra donc être vendue, à un tarif avantageux, aux voisins participants, favorisant ainsi une consommation locale d’électricité solaire.   Sibelga, dans un rôle de facilitateur   Sibelga, qui joue ici son rôle de gestionnaire de distribution, a organisé, en partenariat avec les porteurs des projets, des séances d’information pour les voisins des écoles, à l’issue desquelles 25 consommateurs ont marqué leur intérêt. Equipés de compteurs intelligents, les ménages participants bénéficieront du surplus d’électricité solaire en fonction de clés de répartition qui devront être définies. « Nous aurons les informations des index pour chaque quart d’heure afin de calculer la part du surplus que chacun consomme. Ceci, afin d’implémenter la clé de répartition entre les différents membres de la communauté », explique Daphné Benzennou, Experte de la … Continue reading "Premiers projets pilotes d’autoconsommation collective à Bruxelles"

Des centrales photovoltaïques flottantes en Mer du Nord

6 janvier 2020

L’entreprise néerlandaise Oceans of Energy a inauguré en novembre dernier une centrale photovoltaïque flottante en Mer du Nord, baptisée « Solaire en mer » et qualifiée de « première mondiale » (photo ci-dessous). Ce projet pilote d’une capacité initiale de 8,5 kWc sera étendu à 50 kWc dans les prochains mois et sera opérationnel durant une période test d’un an. Ce projet regroupe 6 entreprises et organismes de recherche néerlandais, qui testeront cette technologie innovante. Le photovoltaïque flottant se développe actuellement partout dans le monde, grâce notamment à la baisse continue des coûts. Les projets jaillissent principalement sur des réserves d’eau douce à l’intérieur des terres (lacs, bassins d’irrigation, réservoirs de traitement d’eau, barrages, …). En Belgique, une première ferme solaire a ainsi vu le jour en 2017 sur un bassin industriel en Hesbaye (lire notre article Première centrale photovoltaïque flottante en Belgique). Par contre, l’aventure en mer est plus récente et offre de nouvelles perspectives.   Quatre avantages   Le photovoltaïque flottant offre 4 principaux avantages : Il permet de valoriser des surfaces d’eau inexploitées (sur terre ou en mer) et peut ainsi éviter une éventuelle compétition pour l’occupation des sols. Les grands plans d’eau bénéficient d’un ensoleillement maximal et d’un environnement bien dégagé (pas d’ombrage). La fraîcheur de l’eau permet d’éviter la surchauffe de l’installation photovoltaïque. Celle-ci offre dès lors un rendement de 15 à 20% plus élevé. En mer, il peut se développer au sein des parcs éoliens offshore. Ces surfaces, déjà dédiées à la production d’énergie, pourraient, grâce au solaire, produire 5 fois plus d’électricité.   La question de l’usage des sols est particulièrement sensible dans les régions densément peuplées comme les Pays-Bas et la Belgique, où l’espace disponible est limité. Un projet de centrale photovoltaïque au sol peut donc parfois … Continue reading "Des centrales photovoltaïques flottantes en Mer du Nord"

Pourquoi la voiture électrique ne résoudra pas notre mobilité …mais jouera un rôle déterminant

15 janvier 2020

Contrairement aux croyances et discours souvent entendus, il ne suffira pas d’électrifier tout le parc automobile actuel pour accéder à une mobilité réellement durable et bénéfique à l’ensemble de la société. La voiture électrique n’est pas une solution technologique « miracle » en soi ni une fausse solution à rejeter. Elle trouvera simplement sa place au sein d’un ensemble de principes qui permettront à chacun de se déplacer dans un espace public aéré où il fait bon vivre et respirer. Sans fascination technologique ni polémiques inutiles, nous souhaitons rappeler ici les balises, réflexions et perspectives dans lesquelles l’APERe – qui édite la revue Renouvelle.be – inscrit sa vision d’une société 100% renouvelables, durable et solidaire.   Sobriété, efficience et renouvelables   En raison du défi climatique notamment, la Belgique et l’Europe souhaitent se libérer des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon) et visent un système énergétique zéro carbone d’ici 2050. Dans une perspective durable, cette transition doit aussi prévoir une sortie du nucléaire (l’extraction de l’uranium, le risque d’accident nucléaire et la gestion des déchets contaminés posant d’importantes questions pour l’environnement et la santé). Bref, l’énergie que nous utiliserons demain – y compris pour nous déplacer – sera produite à 100% par des sources d’énergies renouvelables et décentralisées (éolien, photovoltaïque, …), avec la nécessité de stocker cette électricité verte – comme nous le verrons plus loin. Or cette perspective 100% renouvelables n’est plausible que si, en parallèle, nous réduisons nos consommations inutiles d’énergie. C’est la démarche NégaWatt : grâce à une plus grande sobriété et efficacité énergétique, nous pourrons couvrir l’ensemble de nos consommations par des sources renouvelables. En matière de mobilité, le principe de sobriété nous interroge par exemple sur la pertinence de certains déplacements. En Belgique, 35% des déplacements sont inférieurs ou … Continue reading "Pourquoi la voiture électrique ne résoudra pas notre mobilité …mais jouera un rôle déterminant"

Les émissions mondiales de CO2 ont stagné en 2019 : vont-elles enfin décroître ?

14 février 2020

Le nouveau rapport de l’Agence Internationale de l’Energie (AIE) le souligne : Défiant une croissance attendue, les émissions mondiales de CO2 sont, au contraire, restées stables en 2019, malgré une croissance économique de 2,9%. Après deux années d’augmentation, ces émissions de carbone ont stagné, en 2018 et en 2019, à 33 gigatonnes. Selon l’AIE, cette bonne nouvelle s’explique en premier lieu par une production d’électricité moins carbonée dans les économies avancées, grâce à la croissance des énergies renouvelables – éolien et solaire principalement -, au remplacement du charbon par du gaz naturel et par une plus grande part de nucléaire. D’autres facteurs ont également joué, notamment des températures plus douces dans plusieurs pays et une croissance économique plus faible dans plusieurs marchés émergents.   Décroissance aux Etats-Unis, en Europe et au Japon   Les Etats-Unis ont enregistré le plus grand déclin des émissions de CO2 sur une base nationale, avec une chute de 140 millions de tonnes (2,9%). L’Union européenne enregistre une chute de 160 millions de tonnes (5%). Pour la première fois en Europe, la production d’électricité à partir de gaz a dépassé la production au charbon ; tandis que l’éolien a également rattrapé la production au charbon. Le Japon a également connu une chute de 45 millions de tonnes (4%). Ailleurs dans le monde, les émissions ont continué à augmenter en 2019, principalement en raison d’une croissance des productions au charbon en Asie.   « Nous pouvons relever le défi climatique »   Cette stagnation amorce-t-elle une véritable décroissance des émissions de gaz à effet de serre, comme le préconise la communauté scientifique pour stabiliser le climat ? « Nous devons à présent travailler dur pour faire en sorte que 2019 soit considérée comme un pic définitif dans les … Continue reading "Les émissions mondiales de CO2 ont stagné en 2019 : vont-elles enfin décroître ?"

Pourquoi le politique sous-estime constamment le potentiel futur de l’énergie photovoltaïque ?

11 mars 2020

L’Agence Internationale de l’Energie (AIE), institution de référence pour le monde politique, publie chaque année le Word Energy Outlook (WEO). Ce rapport statistique – véritable guide des décideurs – fait le point sur l’évolution du mix énergétique dans le monde et dresse des prévisions de croissance des différentes filières : fossiles, nucléaire et renouvelables. En ce qui concerne la filière photovoltaïque, la différence entre les prévisions de l’AIE et les données historiques des capacités solaires réellement installées dans le monde est …gigantesque, comme le montre le graphique ci-dessous, réalisé par Auke Hoekstra, chercheur hollandais expert en solaire. Capacités photovoltaïques supplémentaires dans le monde (GWc/an) : données historiques (flèche noire, PV History) versus prévisions de chaque rapport World Energy Outlook (WEO). Source : Auke Hoekstra.   Ce graphique, qui circule beaucoup dans le secteur photovoltaïque, utilise uniquement les données de l’AIE et confronte les prévisions annoncées avec le bilan annuel de ce qui a été réellement installé. Comme on le voit, la croissance mondiale du photovoltaïque est nettement plus forte que ce qui est attendu.   D’où vient ce décalage ?   Il faut toujours se montrer prudent pour interpréter une différence entre des prévisions et la réalité qui est ensuite advenue. Néanmoins, ce graphique montre que l’AIE sous-estime fortement et constamment, depuis plus de 10 ans, le potentiel photovoltaïque annoncé ; alors que la même agence constate chaque année dans son rapport statistique une très forte croissance de la filière. Ce constat, sur une décennie, ne devrait-il pas inciter l’AIE à mieux prendre en compte le dynamisme de cette filière ? L’Agence comporte pourtant en son sein un département dédié aux énergies renouvelables et un programme dédié au photovoltaïque (IEA-PVPS), tous deux en contact avec la réalité de terrain, ce dernier programme compilant les statistiques mondiales les … Continue reading "Pourquoi le politique sous-estime constamment le potentiel futur de l’énergie photovoltaïque ?"

A quoi sert un tarif réseau ?

27 mars 2020

La CWaPE – régulateur du marché wallon de l’énergie – mène actuellement une consultation relative aux tarifs de distribution de l’électricité en Wallonie, en vue d’adopter une nouvelle méthodologie tarifaire d’ici janvier 2022.  Cette initiative a le mérite d’ouvrir une réflexion avec les acteurs du marché de l’énergie et les gestionnaires de réseaux de distribution (GRD) sur les objectifs et les modalités possibles pour financer le réseau électrique.  Renouvelle en profite pour élargir la réflexion et poser cette première question : « Est-ce que les coûts du réseau doivent être financés par les consommateurs ? »   Aujourd’hui, la plupart des acteurs partent du principe que, « oui », ces coûts doivent effectivement être assumés par les consommateurs, via leurs factures d’électricité. Dès lors toute la réflexion sur le prix du réseau vise, avant toute chose, à récolter un montant d’argent suffisant pour payer le réseau (et une série de taxes également), les autres considérations passant en second lieux.  Et si, pour une fois, nous envisagions cette autre réponse : « non », il existe d’autres pistes – sociales, fiscales, environnementales … – pour financer notre réseau électrique ? Cela ouvrirait le champ des possibles.  Par comparaisons, prenons l’exemple des autoroutes : en France, certaines sont financées par les usagers via les péages ; tandis qu’en Belgique, elles sont principalement financées par l’impôt (même si d’autres modalités sont aujourd’hui envisagées auprès des usagers : vignette, taxe au kilomètre, …).  Mais, avant de s’interroger sur le financement, posons-nous cette deuxième question : « A quoi sert un tarif réseau ? » Ou, autrement dit : « Quels sont les objectifs d’un tarif réseau ? »  La CWaPE définit 8 objectifs possibles, que nous présentons ci-dessous. Les acteurs wallons du marché de l’énergie … Continue reading "A quoi sert un tarif réseau ?"

A Uccle, un bâtiment chauffé et refroidi …grâce aux égouts

31 mars 2020

Le nouveau centre administratif de Uccle, baptisé bâtiment U, est une rénovation basse énergie certifiée exemplaire par la Région bruxelloise.  Sa caractéristique la plus innovante consiste à utiliser notamment la riothermie pour se chauffer ou se refroidir.   Ce procédé permet de récupérer la chaleur ou la fraîcheur des eaux d’égouttage pour les transformer en énergie de chauffage ou de refroidissement selon les saisons.   L’intercommunal VIVAQUA, qui gère 1.900 km d’égouts à Bruxelles, teste ici un projet pilote.   Comment fonctionne la riothermie ?    A l’origine du projet, ce constat : lorsqu’il fait froid en hiver, il fait plus chaud dans l’égout et inversement, quand il fait chaud en été, il fait frais dans l’égout. En effet, la température des eaux rejetées par les habitations est relativement constante.   La riothermie consiste dès lors à extraire les calories via un échangeur à chaleur placé dans le réseau d’égouttage, pour ensuite les injecter, à faible renfort énergétique, dans une pompe à chaleur à haut rendement. Le recours à l’énergie fossile s’en retrouve proportionnellement diminué.  Généralement, ce procédé est coûteux car les composants de l’échangeur à chaleur (inox, aluminium) doivent être résistants au milieu corrosif que constituent les égouts, être robustes pour résister aux flux d’eaux usées et posséder un haut pouvoir de transmission calorifique. Ces installations, bien qu’eco-friendly, posent la question du retour sur investissement.     Un procédé innovant    VIVAQUA a dès lors conçu un procédé innovant, protégé par un brevet européen depuis 2018. Les matériaux utilisés – un tubulaire plastique rempli de fluide caloporteur – sont peu onéreux et résistent à l’environnement particulier qu’est un égout.   Par ailleurs, VIVAQUA prévoit de rénover son réseau d’égouttage à raison de 20 à 25 km par an et profitera des travaux pour incorporer … Continue reading "A Uccle, un bâtiment chauffé et refroidi …grâce aux égouts"

Relocaliser l’économie : les territoires en question

5 avril 2020

Voici un an, Renouvelle posait et analysait cette question : Quelle(s) échelle(s) territoriale(s) pour la transition écologique ? Aujourd’hui, en pleine crise sanitaire et économique du Covid-19, cet enjeu prend une dimension cruciale (lire par exemple cette tribune dans Le Monde : « Relocaliser n’est plus une option mais une condition de survie de nos systèmes économiques et sociaux »).  Face à la vulnérabilité d’un système économique mondialisé, les Etats envisagent en effet de relocaliser des activités essentielles sur leur territoire.   Mais quelles sont ces activités essentielles ? Et à quelle échelle territoriale doivent-elles être relocalisées (Europe, pays, régions, provinces, arrondissements, communes…) ?   A l’instar du gouvernement wallon, plusieurs dirigeants ont manifesté leur volonté, une fois l’urgence sanitaire dépassée, d’orienter le redéploiement « vers la relocalisation d’activités, l’économie circulaire, les circuits courts et des premières concrétisations du Plan de transition ».   Cette approche traduit bien une prise en compte de l’interdépendance entre les choix de modèles économiques, les enjeux sanitaires et la transition écologique. Pour répondre aux questions ci-dessus, il s’agira donc d’identifier les biens et services essentiels et le territoire qui rendra la chaîne d’approvisionnement de chacun d’eux la plus robuste et soutenable dans un contexte mondial bouleversé.    Le terme « démondialisation » n’est plus tabou     Depuis mars 2020, la nécessité d’une certaine démondialisation, sujet pourtant encore tabou quelques semaines plus tôt, a fait irruption dans le débat public. Ce débat est actuellement, et c’est bien normal, principalement centré sur la production de matériel médical. Mais d’autres besoins pourraient rapidement devoir intégrer le cœur des discussions. La mise sous tension des chaines d’approvisionnement mondialisées par le confinement d’une partie de plus en plus importante de l’humanité cause déjà et causera inévitablement des pénuries dans le monde, … Continue reading "Relocaliser l’économie : les territoires en question"

Relocaliser l’économie : Bientôt des panneaux solaires « Made in Europe » ?

6 avril 2020

Au sein de l’économie mondialisée, la Chine est devenue la principale « usine du monde » pour la plupart des biens que nous consommons. Les panneaux solaires n’y échappent pas. Ceux-ci sont essentiellement fabriqués en Asie, en Chine en particulier, comme le montre la figure ci-dessous issue du « Trends 2019 » publié par l’Agence Internationale de l’Energie. Et ce à toutes les étapes de fabrication.  Or la crise du coronavirus, à travers la pénurie de masques de protection notamment, a mis en évidence l’impact d’une si grande dépendance extérieure envers des biens jugés essentiels.   En 2020, la filière photovoltaïque sera très impactée par l’arrêt et les retards de fabrication de panneaux solaires en Chine. L’agence BloomergergNEF estime ainsi qu’il est désormais nécessaire de relocaliser une industrie solaire en Europe notamment (lire cet article de Euractiv).  Et plus globalement, de nombreux économistes et acteurs professionnels estiment désormais que la survie de nos économies passera par une relocalisation des activités (lire notre article Coronavirus : La Démocratie énergétique comme résilience ? et cette tribune dans Le Monde : « Relocaliser n’est plus une option mais une condition de survie de nos systèmes économiques et sociaux »).  Source : IEA-PVPS Soulignons également que l’Europe dépend à 58% de l’extérieur pour son approvisionnement énergétique, à travers ses importations de pétrole et de gaz notamment (chiffres Eurostat 2028).   Pour atteindre son objectif Zéro carbone d’ici 2050, l’Europe doit donc s’affranchir de ces importations et développer sur son territoires toutes les sources d’énergies renouvelables disponibles : photovoltaïque, éolien, biomasse, géothermie, hydroénergie…  Dans ce contexte, les panneaux solaires deviennent donc un bien essentiel pour assurer l’autonomie énergétique européenne.  De nombreux acteurs de la filière plaident pour une re-localisation en Europe d’une production industrielle de panneaux solaires.  … Continue reading "Relocaliser l’économie : Bientôt des panneaux solaires « Made in Europe » ?"

Les communautés d’énergie, un modèle d’avenir

21 février 2023

La conférence en ligne (Webinaire), organisée par Energie commune (qui s’appelait à l’époque l’APERe) il y a trois ans, avait rencontré un vif succès avec une bonne centaine de participants autour du thème “Les Communautés d’énergie, un modèle d’avenir”. Le thème était déja en effet d’un grand intérêt pour les citoyens, professionnels et acteurs locaux car les Communautés d’énergie, qui se développent partout en Belgique et en Europe sur l’impulsion de deux directives européennes, permet une dynamique collective et locale pour intégrer les énergies renouvelables au bénéfice des citoyens. Actuellement, la Flandre et Bruxelles sont les seules à avoir donné un cadre légal et fonctionnel à cette formidable opportunité. En Wallonie, on parle de 2024…sans doute peut-être… Pour en comprendre les enjeux, nous vous invitons à (re)visionner ce Webinaire, à consulter les présentations des orateurs et à parcourir les Questions-Réponses des participants. Vous trouverez également tous ces outils sur le site d’Energie Commune. Pour faciliter votre visionnage, voici le programme et le minutage de chaque intervention : 0:00 > Introduction par Benjamin Wilkin, Secrétaire général de l’APERe 10:54 > Contexte global et contenu des deux directives européennes par Jan Steinkohl, Commission Européenne. 21:30 > Contextes légaux wallon & bruxellois par Mathieu Bourgeois, APERe. 30:32 > Bénéfices et freins potentiels au développement de ces communautés par Roland Tual, REScoop Europe. 53:36 > Leviers pour les communes par Energy Cities. 1:05:33 > Conclusion  Bonne suite à vos projets !

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