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L’agrivoltaïsme: un enjeu pour la transition énergétique en Wallonie

5 décembre 2024

L’agrivoltaïsme désigne la combinaison de la production agricole et de l’énergie solaire sur une même parcelle. Il permet de produire des cultures, d’élever des animaux tout en installant des panneaux photovoltaïques pour créer des synergies entre agriculture et énergie. Différentes configurations sont possibles selon les besoins locaux et le climat, comme les ombrières photovoltaïques, les panneaux verticaux ou les canopées surélevées. État des lieux de l’agriculture et du photovoltaïque L’agriculture est un pilier économique, social et environnemental. Son modèle écologique vise l’efficacité des ressources naturelles et la réduction des impacts négatifs sur l’environnement. Cependant, la pression sur les terres agricoles augmente avec une hausse des prix et une diminution de la surface agricole utilisée (SAU). Les objectifs régionaux fixés dans le Plan Air Climat Énergie (PACE) visent 5100 GWh de production solaire annuelle d’ici 2030, mais le rythme actuel des installations est insuffisant. L’agrivoltaïsme pourrait couvrir 1 % de la SAU pour aider à atteindre cet objectif. État des connaissances sur l’agrivoltaïsme L’agrivoltaïsme prend plusieurs formes, allant de systèmes au sol à des panneaux montés sur pilotis, et peut s’adapter à différentes cultures (annuelles ou pérennes) ou types de productions (cultures, pâturage). Les impacts sur la productivité agricole dépendent de facteurs comme l’intensité de l’ombrage et la conception des installations, qui influencent directement les rendements des cultures. Impact de l’ombrage sur les cultures et le pâturage L’ombre générée par les panneaux peut affecter la photosynthèse, mais certains systèmes permettent de maintenir, voire d’améliorer, la production agricole. Des espèces comme les framboisiers et certaines herbacées peuvent tolérer l’ombrage, tandis que les panneaux peuvent offrir une protection contre les intempéries. Le pâturage sous panneaux, principalement pour les moutons, montre des résultats positifs, avec une production de fourrage souvent améliorée sous les panneaux. … Continue reading "L’agrivoltaïsme: un enjeu pour la transition énergétique en Wallonie"

Taxe carbone : la facture d’énergie des ménages impactée dès 2027

10 décembre 2024

À partir de 2027, les factures de chauffage et de carburant des citoyens risquent d’en prendre un coup avec l’application de l’ETS2 et sa taxe carbone. Lancé en 2005, l’ETS est un système d’échange de quotas d’émission pour les grosses industries polluantes.  Il permet de diminuer les émissions de gaz à effet de serre et les gains générés par cette taxe sont réinjectés dans le financement pour la transition énergétique. Première phase de ce système, l’ETS1 ne s’appliquait jusqu’à présent qu’aux industries, usines et producteurs d’énergie (centrale électrique, raffinerie de pétrole, etc). En 2024, il s’étendait à l’aviation et au transport maritime. L’ETS2 sera mis en application dès 2027 et visera à intégrer les secteurs du transport routier et du bâtiment (résidentiel et commercial). Des domaines qui touchent directement la vie quotidienne des ménages (carburant pour se déplacer, gaz pour se chauffer, …). Le but reste inchangé : diminuer, petit à petit, les émissions de gaz à effet de serre pour atteindre la neutralité climatique d’ici 2050. Mais en quoi cela concerne-t-il directement la vie quotidienne du citoyen ? Qu’il s’agisse d’essence, de diesel, de mazout ou de gaz, les différents fournisseurs devront s’acquitter de cette taxe carbone et, évidemment, ils devront la répercuter dans leurs tarifs. Dernier maillon de cette chaîne de production-consommation, les ménages devraient donc en subir l’impact à travers une hausse de leurs factures d’énergie si ceux-ci consomment des énergies fossiles pour se chauffer ou se déplacer. À combien se chiffre cette hausse ? D’après un article de la Febeg, publié fin septembre, il faut s’attendre à une augmentation de 10 % de la facture de gaz, représentant un coût moyen supplémentaire allant jusqu’à 150 € par an pour un consommateur moyen. Et cela, seulement si … Continue reading "Taxe carbone : la facture d’énergie des ménages impactée dès 2027"

Pourra-t-on remplacer le gaz naturel par du biogaz en Europe ?

12 décembre 2024

En 2021, elle en importait 150 milliards de m³ de gaz, soit un peu plus de 40% des importations totales européennes. En 2023, on n’en comptait plus que 43 milliards de m3, acheminés majoritairement par gazoduc, mais aussi par bateau sous forme liquéfiée. Cette baisse d’importation est le résultat d’une combinaison de décisions politiques : Le gaz naturel est principalement utilisé en Europe pour la production d’électricité, le chauffage des habitations, et l’industrie pour des usages non énergétiques. Le biogaz une solution pour les industries d’Europe L’électrification de nos besoins de mobilité et de chaleur combinée à une production d’électricité renouvelable permet de réduire notre dépendance aux énergies fossiles, et donc aux importations des pays extérieurs à l’UE. Mais l’électrification ne sera pas aussi simple pour nos industries, qui ont des besoins spécifiques, en chaleur ou en molécules, soumis à des contraintes techniques de processus qui rendent la transformation complexe.  Pour la fabrication du verre plat, par exemple, les fours, qui fonctionnent à plusieurs centaines de degrés, alimenté en gaz pour la combustion, sont arrêtés une seule fois tous les 20 ans pour des maintenances. Un arrêt pour une modernisation de l’appareil industriel pourrait engendrer plus de 6 mois d’arrêts de production. Intégrer du biométhane dans les industries permettrait de limiter ces changements. Dans la consommation future de nos industries, le biométhane ne serait pas la seule molécule utilisée et serait combiné à d’autres molécules synthétiques produites notamment à partir d’électricité (électrolyse de l’eau). Mais le biométhane reste à ce jour la molécule verte la plus fabriqué en Europe. Son acheminement jusqu’aux sites industriels pose aussi question étant donné la localisation de son gisement principalement situé en campagne, loin des grands réseaux de transport de gaz. Le gisement européen et belge … Continue reading "Pourra-t-on remplacer le gaz naturel par du biogaz en Europe ?"

La demande en charbon a atteint un record en 2024

2 janvier 2025

Bien que sa croissance soit plus faible par rapport aux années précédentes, la demande en charbon se chiffre à un record de 8,77 milliards de tonnes en 2024. Ironie du sort, c’est le secteur de l’énergie qui en a été le principal consommateur pour la production d’électricité (10 700 TWh). C’est ce que nous partage l’Agence Internationale de l’Énergie dans un récent rapport. Cette demande en charbon se répartit, bien sûr, différemment selon la zone géographique. En Inde et en Chine, par exemple, la hausse sera, respectivement, de plus de 5 % pour atteindre 1,3 Gt et de 1 %, atteignant ainsi 4,9 Gt. Un tiers de la consommation mondiale de charbon est attribué à la Chine et ses centrales électriques. Celle-ci, comme on le sait, a de plus en plus diversifié ses sources d’énergie, du nucléaire à l’éolien en passant par le solaire. L’Union européenne et les États-Unis poursuivent leur décroissance de consommation mais à un rythme plus modéré qu’auparavant (12 % et 5 % en 2024 contre 23 % et 17 % l’année précédente). Malgré ce record dont on se serait bien passé, la demande en charbon devrait se stabiliser en 2027 à un niveau de 8,87 milliards de tonnes. Malheureusement, on ne peut pas en dire autant des émissions de CO₂ liées au charbon qui ne devraient pas diminuer, et cela dû à un manque de progrès technologique suffisant en matière de capture et stockage du carbone. D’ici là, les fluctuations annuelles de la demande mondiale de charbon resteront modestes, avec une augmentation prévue en Inde de 50 millions de tonnes, et une baisse de 68 millions de tonnes dans l’Union européenne. En Chine, les conditions météorologiques pourraient fortement influencer la demande, avec des variations potentielles de … Continue reading "La demande en charbon a atteint un record en 2024"

Facture d’énergie : hausse des coûts de distribution et transport

6 janvier 2025

La nouvelle est tombée il y a quelques semaines : les régulateurs du marché de l’électricité et du gaz (Brugel pour Bruxelles et la CWaPE pour la Wallonie) annonçaient une hausse des coûts de distribution et du transport (ou coûts de réseau) de ces derniers. Depuis le 1er janvier, c’est chose faite. Plusieurs facteurs ont mené à cette décision, comme la modernisation et le renforcement du réseau afin de mieux absorber les nouveaux modes de consommation énergétique (photovoltaïque, pompe à chaleur, etc.), le déploiement des compteurs intelligents à Bruxelles ou encore la sortie progressive du gaz fossile. Tout cela représente un investissement important qui se répercutera donc sur les factures d’énergie de tous les consommateurs, peu importe qu’il s’agisse d’un contrat fixe ou variable. Avant d’aller plus loin, rappelons que le tarif de transport regroupe les frais liés à l’acheminement de l’électricité ou du gaz sur les grands réseaux, des producteurs aux zones où l’énergie sera consommée. Les tarifs de distribution, quant à eux, couvrent le transfert depuis ces grands réseaux vers les infrastructures locales et donc jusqu’aux consommateurs finaux. Qui se charge de tout ça ? Pour le transport, c’est Elia qui s’en occupe. En ce qui concerne la distribution, à Bruxelles, c’est Sibelga qui s’en charge. Du côté de la Wallonie, et selon votre zone géographique, il s’agit de : Ores, Resa, AIEG, AIESH et REW (pour le gaz, uniquement ORES et RESA). Comment cette augmentation tarifaire se traduira-t-elle alors en chiffres ? Bruxelles En 2025, un ménage bruxellois qui consomme en moyenne 2 104 kWh d’électricité par an verra ses frais de distribution augmenter de 26,58 € (TVAC), soit une hausse de 11,6 % par rapport à l’année passée. Elle poursuivra sa lancée avec +5,1 % en … Continue reading "Facture d’énergie : hausse des coûts de distribution et transport"

Géothermie : un potentiel mondial encore sous utilisé

9 janvier 2025

Actuellement, la géothermie représente moins de 1% de la demande mondiale en énergie. Pourtant, grâce aux avancées technologiques et à une réduction des coûts, elle pourrait couvrir 15 % de la croissance de la demande mondiale d’électricité d’ici 2050, soit l’équivalent d’une capacité de 800 GW. La géothermie offre une production continue d’électricité et de chaleur, avec un taux d’utilisation dépassant 75 % en 2023. Elle contribue également à équilibrer les réseaux électriques complémentant facilement les énergies renouvelables intermittentes. Celle de nouvelle génération pourrait couvrir 140 fois la demande mondiale d’électricité, se plaçant ainsi derrière le solaire. Les forages atteignant des profondeurs de plus de 8 km permettent d’accéder à un potentiel de 600 TW avec une durée de vie de 25 ans. À des profondeurs de 3 km et des températures supérieures à 90 °C, 320 TW de potentiel pourraient alimenter des réseaux de chaleur actuels, décarbonant donc les systèmes de chauffage alimentés par des combustibles fossiles. Pour les besoins à plus basse température, le potentiel géothermique est jusqu’à dix fois plus élevé. Malgré toutes les possibilités qu’offre la géothermie, celle-ci semble encore (trop) peu attrayante ou trop compliquée. Certains freins refroidissent les potentiels intéressés comme le temps nécessaire pour obtenir un permis, ce dernier pouvant prendre jusqu’à 10 ans pour un projet. Le manque ou l’absence de politiques de soutien pour son développement n’arrange pas les choses, selon l’AIE plus d’une centaine de pays ont des politiques mises en place pour le photovoltaïque et/ou l’éolien terrestre alors que moins d’une trentaine en ont mis en œuvre pour la géothermie, la reléguant donc souvent à l’arrière plan. Pourtant, le secteur représente actuellement 145 000 emplois, un chiffre qui pourrait grimper jusqu’à 1 million d’ici 2030. Pour atteindre ce résultat, … Continue reading "Géothermie : un potentiel mondial encore sous utilisé"

New York met à l’amende les entreprises de combustibles fossiles

9 janvier 2025

C’est une petite révolution législative pour le climat qui a eu lieu récemment dans l’État de New York. Ce dernier a adopté, fin décembre 2024, une loi qui obligera les entreprises actives dans le secteur des combustibles fossiles à prendre leurs responsabilités, dans les dégâts climatiques qu’elles causent, en s’acquittant d’une lourde amende. Signée par la gouverneure Kathy Hochul, elle fera payer aux entreprises en question une somme de 75 milliards de dollars sur les 25 prochaines années, en guise de dédommagement. Une décision forte qui permettra de transférer le poids financier que représente l’adaptation au changement climatique, du contribuable vers les industries fossiles, considérées désormais responsables. La somme ainsi récoltée sera reversée à un Superfonds pour le climat à partir de 2028 et sera consacrée à atténuer les conséquences du changement climatique ainsi qu’à la réparation et à l’adaptation des infrastructures endommagées : modernisation des routes, restauration de zones côtières, amélioration des transports en commun et des systèmes d’approvisionnement en eau, etc. L’amende se basera sur la quantité de gaz à effet de serre émise entre 2000 et 2018 et concernera plus précisément les entreprises responsables de plus d’un milliard de tonnes. Les mêmes grandes compagnies qui ont réalisé plus de 1 000 milliards de dollars de bénéfices depuis janvier 2021 au détriment du climat, tout en connaissance de cause depuis les années 1970. Cette législation fait écho à celle déjà adoptée par l’État du Vermont l’été passé. Nul doute que le secteur des énergies fossiles tentera tout ce qu’il peut pour la contester, mais il ne reste plus qu’à espérer un effet domino et que d’autres États s’inspirent de New York.

30% de renouvelables dans l’électricité consommée en Belgique en 2024 

14 janvier 2025

En 2024, la consommation électrique totale en Belgique s’est établie à 80 TWh, un chiffre stable par rapport à l’année précédente. 30% de cette consommation provient des sources d’énergie renouvelables, marquant une étape significative dans la transition énergétique belge.  Cette stabilité est notable malgré une légère baisse des prix de l’électricité, qui aurait pu encourager une augmentation de la demande. Bilan énergétique 2024 Nos prévisions pour 2024 tablaient sur une augmentation significative de la contribution de l’énergie solaire, avec un objectif ambitieux de couvrir 11% de la consommation totale d’électricité. Toutefois, un manque d’ensoleillement record, comparable aux plus bas niveaux observés depuis 1998, a limité cette progression à une hausse de 1%.  Malgré cette contrainte météorologique, l’énergie solaire a tout de même contribué à hauteur de 10% des besoins énergétiques du pays. L’éolien, pour sa part, a joué un rôle clé, couvrant 16% de la consommation totale d’électricité (18% en 2023). La répartition entre l’éolien terrestre (7%) et offshore (9%) met en évidence l’importance stratégique des parcs éoliens en mer dans le mix énergétique belge. Des émissions de CO2 en diminution de 35% en 8 ans  En diminution quasiment constante, les émissions de C02 liées au mix électrique belge ont diminué de 35% depuis 2017 en passant de 226 grCO2/kWh à 147 grCO2/kWh en 2024.  Perspectives et enjeux pour 2025  Les résultats de 2024 confirment que la Belgique progresse vers une transition énergétique durable, malgré des conditions climatiques exceptionnelles. Cependant, l’annonce récente des régulateurs concernant une hausse des factures d’énergie prévue en 2025 souligne la nécessité de poursuivre nos efforts en matière de sensibilisation des consommateurs.  Par ailleurs les diminutions des émissions de CO2 devraient ralentir, en 2025, avec les arrêts progressifs de 3 réacteurs nucléaires au 15 février pour … Continue reading "30% de renouvelables dans l’électricité consommée en Belgique en 2024 "

Vers un encadrement de l’agrivoltaïsme en Wallonie ?

14 janvier 2025

Il y a quelques semaines, Renouvelle vous partageait les enjeux de l’agrivoltaïsme pour la Wallonie et avait fait mention du Livre Blanc publié par le Cluster Tweed, en août de l’année passée. Résultat d’une concertation intersectorielle, celui-ci vient d’être complété d’annexes dont deux très attendues par les acteurs de terrain. Il s’agit, pour la première, de l’annexe « Foncier » regroupant des recommandations pour limiter l’impact sur la pression foncière et, pour la seconde, de l’annexe « Définition » ayant pour objectif d’expliquer des concepts clefs comme la notion de pilote agrivoltaïque. L’annexe « Foncier » L’agrivoltaïsme suscite certaines inquiétudes, l’une d’entre elles étant la pression supplémentaire qu’il pourrait exercer sur les terres agricoles, déjà soumises à de fortes tensions. Bien qu’il existe un important potentiel pour les projets agrivoltaïques, le Livre Blanc insiste sur la nécessité de les encadrer en suivant des mesures strictes afin d’éviter une concurrence avec son usage principal qui doit rester agricole. Les recommandations de l’annexe « Foncier » ont pour but d’assurer le maintien de l’activité agricole comme priorité, de protéger les exploitations, de veiller à la répartition équitable des bénéfices entre les parties prenantes ainsi que d’éviter la spéculation foncière. Mais quelles sont les mesures proposées ? En voici quelques unes en guise d’exemples. Mesures liées aux acteurs : Mesures liées aux projets : Mesures liées à la gouvernance et à la régulation : L’annexe « Définition » Cette annexe explique les concepts clefs du Livre Blanc, dont celui de « pilote agrivoltaïque » mentionné dans la circulaire.    Un projet pilote d’agrivoltaïsme en Wallonie consiste à tester la combinaison d’une production agricole principale et de la production d’énergie solaire sur une même parcelle de terrain. L’objectif est d’évaluer les avantages et inconvénients de cette synergie, en fonction des spécificités locales et des besoins des agriculteurs. Parmi les … Continue reading "Vers un encadrement de l’agrivoltaïsme en Wallonie ?"

Fin du soutien public aux énergies fossiles ? Pas pour l’OCDE.

15 janvier 2025

Après plusieurs mois de discussions entre les pays de l’OCDE participants, celles-ci se sont soldées par un échec, aucun accord n’ayant pu être trouvé. Cet échec représente un coup dur pour la transition énergétique mondiale qui pourrait voir ses efforts ralentis. L’objectif de ces négociations était d’interdire, petit à petit, le soutien financier alloué aux énergies fossiles via des subsides publics, et plus particulièrement celui provenant des agences de crédit à l’exportation, en faveur donc des industries pétrolières et gazières. D’après les organisations environnementales, ces agences en sont les principaux financeurs publics. Elles ont joué un rôle important dans le développement du gaz liquéfié, en aidant plus de 80% des nouveaux projets de terminaux d’exportation de 2012 à 2022. Appuyé par l’Union européenne, le Royaume-Uni et le Canada, les États-Unis ont, eux, exprimé leur opposition au projet. En conséquence, le projet a été reporté, sans qu’aucune nouvelle échéance ne soit définie, laissant planer une incertitude sur l’avenir de ce dernier.

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